Ne Laissons Pas Faire http://nlpf.samizdat.net/ Ne Laissons Pas Faire Your Site Has Been HackeD Sorry Admin But Your Site Is Not Secure ! French HaCkeR WaS HeRe fREE Palestine ISRAEL Stop Killing Innocent People in Palestine [ L'histoire de charly hebdo est un complot du gouvernement !!!] :2015 : 2016 fr SPIP - www.spip.net Ne Laissons Pas Faire http://nlpf.samizdat.net/local/cache-vignettes/L74xH100/siteon0-38e4a.jpg http://nlpf.samizdat.net/ 100 74 Marche ou crève ! http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article213 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article213 2007-06-13T10:03:00Z text/html fr Nathalie Ménigon Marche ou crève, C'est ma décision. Mais je marche en riant, Même s'ils me huent en criant. Sans dérision, que d'émotion ! Et alors qu'ils crient, J'avance vers notre rêve : Liberté Résistante Au capital du néant. Marche ou crève, Aucun regret ! Et avec plaisir, Je pétrie les mottes de terre En respirant la fraîcheur de l'air Et les fleurs magnifiques du repeuplement Hexagonal et continental. Car nous sommes tous Nomades, Peuples en (...) - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique11" rel="directory">05. Militant-e-s d'AD</a> <div class='rss_texte'><p><span class='spip_document_167 spip_documents spip_documents_right' style='float:right; width:400px;'> <img src='http://nlpf.samizdat.net/IMG/bmp_Joelle-Brecht.bmp' width='400' height='533' alt="" style='height:533px;width:400px;' /></span></p> <p><strong> <i>Marche ou crève,</p> <p>C'est ma décision.</p> <p>Mais je marche en riant,</p> <p>Même s'ils me huent en criant.</p> <p>Sans dérision, que d'émotion !</p> <p>Et alors qu'ils crient,</p> <p>J'avance vers notre rêve :</p> <p>Liberté Résistante</p> <p>Au capital du néant.</p> <p>Marche ou crève,</p> <p>Aucun regret !</p> <p>Et avec plaisir,</p> <p>Je pétrie les mottes de terre</p> <p>En respirant la fraîcheur de l'air</p> <p>Et les fleurs magnifiques du repeuplement</p> <p>Hexagonal et continental.</p> <p>Car nous sommes tous Nomades,</p> <p>Peuples en mouvement</p> <p>D'un continent à l'autre.</p> <p>Pour que chacun(e) d'un sourire</p> <p>Se redresse et puisse vivre libre</p> <p>De l'exploitation de son travail de Vie</p> <p>De toute famine.</p> <p>C'est marche ou crève,</p> <p>Joëlle est morte pour que vive le rêve</p> <p>D'un autre monde,</p> <p>Immense, sans frontière,</p> <p>En Nomades de la Terre. </i> </strong></p> <p>Nathalie Ménigon</p> <p>Militante d'Action Directe</p> <p>4.03.2006</p> <p>Nathalie Ménigon Militante d'Action Directe 4.03.2006</p></div> 20 ans YA BASTA ! Oui, bien sûr ! http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article179 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article179 2007-02-25T23:24:00Z text/html fr Nathalie Ménigon Cependant, l'Etat s'en moque ; sa vengeance, il la veut par un repentir et nos têtes baissées ! Ce qu'il n'aura jamais. Mais, il a un autre plan : celui de nous tuer à petit feu dans ses geôles infâmes. Pour cela, il a créé un deuxième outil : ses cours spéciales - institutions étatico-civiles - qui sauront lui obéir avec la plus grande servilité. A nos demandes de conditionnelles, claquera un NON !, sans aucune explication crédible. Car, si pour nous la (...) - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique39" rel="directory">983. (fév.-mars 2007) Campagne 20 ans de trop - 20 ans BASTA ! </a> <div class='rss_texte'><p>Cependant, l'Etat s'en moque ; sa vengeance, il la veut par un repentir et nos têtes baissées !</p> <p>Ce qu'il n'aura jamais.</p> <p>Mais, il a un autre plan : celui de nous tuer à petit feu dans ses geôles infâmes. Pour cela, il a créé un deuxième outil : ses cours spéciales - institutions étatico-civiles - qui sauront lui obéir avec la plus grande servilité. A nos demandes de conditionnelles, claquera un NON !, sans aucune explication crédible. Car, si pour nous la solidarité est une arme, pour l'Etat c'est le mensonge qui en est une. D'ailleurs, le prétexte fallacieux est déjà avancé par voie médiatique : nos dossiers de conditionnelle seraient ni sérieux, ni solides.</p> <p>Ce qui est totalement faux !</p> <p>Cependant, pour nous, militant-e-s emprisonné-e-s du fait du combat révolutionnaire mené par l'organisation communiste Action directe, nous sommes sûrs de notre route : celle des insoumis à l'ordre bourgeois. Tant que des femmes et des hommes porteront des idées communistes, les impérialistes au pouvoir frémiront jusqu'à ce que la peur les gèle dans leurs manoirs sécurisés à outrance.</p> <p>Nous ne sommes pas les seul-e-s à porter ces idées vers l'avant pour une société future par le passage du socialisme réel au Communisme de paix et de fraternité-sorellité ; un Communisme anti-impérialiste, pour la naissance d'un monde de travailleurs pour le bien-être de chacun-e et non dans le seul but de « gagner sa vie », mais bien pour construire une civilisation pour l'Humanité Unie, et dans un lien respectueux de la Terre sera enfin possible.</p> <p>Le racisme s'affaiblira jusqu'à son extinction pour sauver la Planète et par une unification des peuples afin d'en finir avec la famine, et la dichotomie entre pays dit pauvres et dit riches.</p> <p>Depuis la nuit des temps homo sapiens sapiens, les peuples sont nomades. C'est là une raison suffisante pour que tout pays accueille sur « son » sol des émigrants, des femmes, des hommes et des enfants porteurs de leur histoire culturelle. Il n'y a pas de nomades légaux ou illégaux, il n'y a que des êtres humains qui désirent Vivre Libres. Ne laissons aucune justice prendre le pas sur nos consciences de femmes et d'hommes, libres militants.</p> <p>Pour que le chemin devienne la peinture de nos volontés révolutionnaires, agissons Ensemble pour vaincre ! Tout cela pour empêcher le génocide de l'Humanité et de la destruction de la planète.</p> <p>Pour la libération des prisonniers politiques et révolutionnaires d'Action directe , basques, corses et anti-fascistes, ainsi que les bretons solidaires.</p> <p>Et la libération du militant communiste libanais Georges Ibrahim Abdallah.</p> <p>Nathalie Ménigon,</p> <p>militante communiste emprisonnée d'Action directe</p> <p>21.02.2007</p></div> Appel pour le 20e anniversaire de l'arrestation des militants d'Action Directe http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article163 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article163 2007-01-21T00:18:00Z text/html fr Georges Cipriani, Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon une Arrêtés le 26 février 1987, nous avons connu toutes les formes de détentions spéciales que ce pays est capable d'infliger en toute impunité, de la torture blanche à l'isolement aménagé jusqu'à la speudo-normalisation du régime des centrales de sécurité. Nos peines incompressibles sont terminées depuis deux ans, mais l'État affirme haut et fort que nous n'avons pas assez payé. Non pas qu'il existe un tarif judiciaire correspondant à « nos crimes » (...) - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique39" rel="directory">983. (fév.-mars 2007) Campagne 20 ans de trop - 20 ans BASTA ! </a> / <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?mot1" rel="tag">une</a> <div class='rss_texte'><p>Arrêtés le 26 février 1987, nous avons connu toutes les formes de détentions spéciales que ce pays est capable d'infliger en toute impunité, de la torture blanche à l'isolement aménagé jusqu'à la speudo-normalisation du régime des centrales de sécurité.</p> <p>Nos peines incompressibles sont terminées depuis deux ans, mais l'État affirme haut et fort que nous n'avons pas assez payé. Non pas qu'il existe un tarif judiciaire correspondant à « nos crimes » révolutionnaires, laissons cette pensée incongrue aux laudateurs des pouvoirs institutionnels. Du premier au dernier jour de détention, le militant est et demeure un otage. Tels des trophées de guerre, les différents gouvernants nous ont utilisés, nous utilisent et comptent nous utiliser encore pour démontrer leur inflexibilité face à la subversion et mettre en valeur l'unanimité de la condamnation de nos choix politiques. Qu'ils soient de droite ou de gauche mais toujours au service de la bourgeoisie et des monopoles, les gestionnaires propagent l'idée qu'une seule façon de faire de la politique est acceptable, la leur. Celle qu'ils imposent à tous pour le bénéfice de quelques uns. Celle de la soumission au marché, de l'ordre policier et de la peur des masses. Celle de la vacuité et de la disparition du politique. Toute pratique et tout engagement en dehors des cadres balisés du système sont dénoncés et criminalisés comme autant de menaces terroristes.</p> <p>L'État nous maintient en prison. Il estime avec raison que nous ne sommes pas brisés.</p> <p>La pression judiciaire n'est pas parvenue à nous transformer en porte-voix du repentir et ainsi en agents du projet de pacification et de désarmement du mouvement révolutionnaire dans les centres impérialistes. Depuis notre premier jour de prison, c'est son but affiché.</p> <p>Et durant des années, les « juges » d'instruction ont prolongé l'usage de la torture blanche convaincus que nous craquerions et que nous nous renierions. Aujourd'hui les mêmes « magistrats » affirment que quelques années supplémentaires entraîneront immanquablement notre reddition. Combien ils sont loin du compte ! Et que peuvent-ils comprendre, eux qui, historiquement, se soumettent sans coup férir au premier pouvoir qui s'installe et qu'importe sa nature...</p> <p>Nous sommes encore debout et nous le faisons savoir en revendiquant notre passé militant et notre appartenance au camp de la résistance révolutionnaire anti-impérialiste. Nous n'avons jamais abdiqué, ni rendu les armes.</p> <p>Leur plan de criminalisation est et sera un échec autant de temps que nous refuserons de critiquer notre engagement en échange d'un assouplissement de nos conditions de détention ou de quelques années de prison en moins. Nous n'entrerons pas dans le rang des prisonniers sans visage et sans histoire.</p> <p>Cet État, si prompt à tourner la page de la collaboration avec l'occupant nazi et qui amnistia les parachutistes tortionnaires, le quarteron des putschistes d'Alger, les terroristes de la Cagoule et ceux de l'OAS..., cet État nous rend un bel hommage en nous considérant, encore et malgré les décennies de cachot, comme de redoutables ennemis impossibles à libérer tant le danger que nous représentons « à l'air libre » serait grand pour lui et ses sbires !</p> <p>Concrètement, il a fait de nous des exemples.</p> <p>Par nos condamnations spectaculaires et notre détention d'exception, il cherchait à frapper l'imaginaire et à créer un impact de terreur chez les militants résolus à bouleverser radicalement l'oppression. Nous devions servir d'exemple dans le « cauchemar des années 80 » alors que la bourgeoisie entreprenait un vaste mouvement de rétablissement des profits pas l'intensification de l'exploitation, les délocalisations, les flexibilisations et les privatisations. A la même époque, les troupes françaises s'engageaient dans les coalitions et autres grandes armadas en participant aux campagnes de bombardements, aux guerres préventives, aux blocus et autres embargos au nom de l'ingérence humanitaire. La volonté impérialiste était de transformer en simple protectorat la planète entière et en premier lieu les pays producteurs de matières premières. Lors de cette offensive néoconservatrice, la bourgeoisie était prête à tolérer une opposition légaliste et impuissante mais non une contestation radicale capable de mettre en danger chacune de ses décisions et D'UNIFIER SOUS UN MÊME DRAPEAU ANTI-IMPÉRIALISTE LES PROLÉTAIRES ICI AVEC LEURS FRÈRES AU-DELÀ DES MERS.</p> <p>L'acharnement de l'État français contre nous quatre (Nathalie, Georges, Joëlle et Jean Marc) prisonniers d'Action Directe, n'est déchiffrable qu'à partir de cette lecture historique.</p> <p>Face à cette exemplarité de la répression durant deux décennies, nous avons dressé une seule bannière celle de la résistance. Aujourd'hui, il est l'heure de renverser le projet de pacification érigé au cœur de nos condamnations. Du fond de nos cachots, nous affirmons qu'il est possible et nécessaire d'utiliser notre résistance comme une arme dans le combat contre l'oppression actuelle. Une arme disponible pour tous les contestataires et les rebelles alors que le pays s'embourbe dans une situation préfasciste.</p> <p>C'est pourquoi nous pensons fondamental que la lutte pour notre libération s'élargisse solidairement à d'autres résistances et à d'autres terrains de lutte. Nous appelons à la mobilisation en février prochain pour le 20e anniversaire de nos arrestations. Nous appelons le camp révolutionnaire à multiplier les initiatives pour un mois de solidarité et d'unité.</p> <p>Le 20e anniversaire de nos arrestations doit être l'occasion de dénoncer les nouvelles réalités de la détention politique. Depuis la guerre d'Algérie, il n'y a jamais eu autant de militant(e)s incarcéré(e)s, dispersé(e)s dans une cinquantaine de prisons. Les prisonnièr(e)s refusant de collaborer sont systématiquement maintenu(e)s dans les pires établissements pénitentiaires. Et plus d'une vingtaine sont condamné(e)s à la réclusion à perpétuité.</p> <p>Les juridictions spéciales soumettent les détenu(e)s pour certains d'entre eux à la torture dans les quartiers d'isolement et pour tous au chantage politique permanent, aux transferts abusifs et souvent violents, aux restrictions sous conditions, à la censure de leur courrier et de leur lecture. Sachez par exemple que certains de vos textes écrits et distribués en toute légalité sont traqués derrière les murs. Le simple fait de les posséder peut entraîner des sanctions disciplinaires. Le droit à la parole et à l'écrit n'existe plus ! C'est le premier pas du glissement actuel de la détention politique.</p> <p>La suppression du statut de prisonnier politique loin d'imposer la normalisation des conditions de détention, a permis à l'État de fragiliser à l'extrême la détention politique et d'imposer en toute occasion un régime d'arbitraire.</p> <p>Le 20e anniversaire de nos arrestations doit être l'occasion de dénoncer les tribunaux d'exception créé en septembre 1986, et en particulier la nouvelle structure de l'application des peines mise en place en mai dernier. Aujourd'hui par la rétroactivité de la loi, de l'arrestation à la fin de la peine, le sort des prisonniers politiques est entre les mains de la même section spéciale du Tribunal de Paris.</p> <p>Et avec cette section, comme au temps de la Cour de Sûreté de l'État, il n'est jamais question de mesure de justice mais d'opportunité politique. Seul le gouvernement décide de la libération ou du maintien en détention des militants poursuivis.</p> <p>La qualité servile des « juges » la composant est légendaire.</p> <p>Le dernier épisode de cette saga l'illustre une fois encore. Pour le compte de l'État major et de quelques caciques UMP, le « juge » Bruguière a conduit une enquête bidonnée sur le génocide rwandais. Ses conclusions renversent tout bonnement les charges contre la France pour complicité dans la mort de 800 000 victimes civiles. Pour lui, s'il y a eu génocide, c'est la faute à la résistance anti-apartheid des Tutsis ! Le pouvoir Hutu, armé et protégé par l'armée française, s'est vu contraint à procéder aux massacres après l'assassinat de son Président. Sans surprise, le « juge » développe ainsi une construction mentale identique à celle de Pinochet lorsqu'il justifiait les tortures et les meurtres comme autant de résultantes naturelles à la résistance populaire contre son coup d'État. Les exactions ne sont pas dans la logique gestionnaire des dictatures et des régimes racistes, les combattants radicaux les y forcent. C'est bien connu !</p> <p>Dans les affaires africaines et moyen-orientales les sections spéciales du Tribunal de Paris figurent le visage local de la « justice » expéditionnaire des interventions militaires contre les peuples. Aujourd'hui les prétextes de la guerre impérialiste reposent de plus en plus sur le fonctionnement des tribunaux anti-terroristes nationaux ou transnationaux, et les sections spéciales anti-terroristes fonctionnent de plus en plus telles des unités de supplétifs au service des états majors et des gouvernements bellicistes.</p> <p>Au moment où les gouvernements US et israélien légalisent l'usage de la torture contre l'ennemi intérieur et le combattant ennemi dans les territoires occupés, les dérives néoconservatrices de la répression, du contrôle total et du fichage des opposants et des populations s'accélèrent dans tous les centres impérialistes.</p> <p>Dans le temps, nous avons connu les activités barbouzardes et celles des escadrons de la mort. Et pour les amnésiques, nous ne citerons qu'un exemple en rappelant les GAL (Groupe anti-terroristes de libération) du gouvernement socialiste espagnol qui, au début des années 80, assassinèrent 23 militants basques de ce côté des Pyrénées. Aujourd'hui, les agents et les supplétifs des officines clandestines quadrillent le territoire européen. Ils enlèvent les opposants en pleine rue, les enferment dans les prisons secrètes, les livrent à des tortionnaires sur d'autres continents... A Paris, dans les locaux de l'École de Guerre, la cellule « base », regroupant agents secrets et « juges » antiterroristes, coordonne la barbouzerie ambiante.</p> <p>La guerre en Irak a illustré une nouvelle donnée de cette dérive. Des entreprises ayant pignon sur rue lèvent des bataillons d'auxiliaires de sécurité. Ces « employés » passent rapidement d'un rôle de faux vigiles à celui de vrais barbouzes et aujourd'hui dans nos capitales, ces industries « respectables » se développent. Les autorités ferment les yeux et au contraire les encouragent. Alors que simultanément les « magistrats » des sections spéciales poursuivent comme malfaiteurs terroristes les jeunes se rendant à Bagdad pour lutter aux côtés d'un peuple dont le pays est occupé par des armées étrangères.</p> <p>Comme au temps de la torture et des corvées de bois en Algérie, bien peu de personnes dénoncent les crimes d'État commis au nom de la guerre anti-terroriste. Au contraire, ils se bousculent pour appeler à d'autres guerres et à d'autres massacres en Iran, au Liban ou en Syrie. Il est temps de prendre la mesure des dérives autoritaires actuelles et des menaces qu'elles représentent pour le mouvement révolutionnaire. Certains beaux parleurs diront que cela ne les concerne pas. Au vu de leur pratique réelle, ils ont sans doute raison. Mais pour ceux qui cherchent sincèrement à remettre en cause les régimes conservateurs actuels, il est nécessaire de les affronter concrètement et dès maintenant car ces dérives barbares figurent la réalité fondamentale de notre époque. L'arsenal barbouzard, autoproclamé « antiterroriste », se dresse face à tous les révolutionnaires et à toute les résistances populaires en Palestine comme au Mexique, au Liban comme en Colombie.</p> <p>Le 20e anniversaire de nos arrestations doit être l'occasion de dénoncer le durcissement général de la répression des luttes ouvrières. A un moment où le venin de la droite extrême gangrène l'Europe entière. Car déjà, les partis fascistes officiels sont présents dans les gouvernements de plusieurs pays. Et cette peste brune dénommée sans euphémisme « la droite décomplexée » a conduit ici ou là à la promulgation de lois scélérates permettant de poursuivre les militants se réclamant du communisme et qui s'organisent comme tel.</p> <p>Partout les droits syndicaux reculent. Les flics cagoulés et surarmés interviennent dans les usines en grève. Dans les rues des quartiers populaires, ils imposent l'ordre de la ségrégation sociale et raciale. Des cohortes policières contrôlent et humilient une jeunesse condamnée au chômage et à la précarité de masse. Les révoltés de novembre sont traités de vulgaires délinquants par l'ensemble de la classe politique institutionnelle. Ailleurs les tribunaux traquent les syndicalistes et autres faucheurs volontaires comme autant de voleurs de poule... Les « magistrats » sont prêts à enfermer tout opposant jusqu'aux enfants turbulents... Les lois répressives se surajoutent à un rythme effréné que les tribunaux ont du mal à suivre... Partout les États livrent une véritable guerre contre les pauvres et les travailleurs, dans le but de les soumettre à la non vie de l'exploitation intensive et du désœuvrement. Cette guerre est l'expression d'une même guerre mondiale, celle menée par les monopoles pour le pillage de la planète.</p> <p>Le 20e anniversaire de nos arrestations doit exprimer un positionnement anti-impérialiste.</p> <p>La résistance contre les juridictions d'exception et contre les interventions militaires néocoloniales actuelles a comme point de départ la conscience de l'état de guerre global dirigé contre les classes populaires ici et dans las pays du sud.</p> <p>Alors que l'OTAN se transforme en gendarme du monde néolibéral, les révolutionnaires dans le centre ont d'autant plus un rôle essentiel. Dans le « cœur de la bête », ils doivent agir concrètement aux côtés des luttes des peuples du sud, car ils sont les seuls capables d'affaiblir efficacement les bases arrières des armadas impérialistes et de « dépacifier » les métropoles d'où ils imposent leurs diktats politiques, économiques, financiers, idéologiques et militaires. Non seulement cette action aura un effet immédiat sur la programmation des massacres, mais simultanément, elle renforcera au sud les expressions révolutionnaires des masses populaires contre les agressions et les troupes d'occupation. Grâce à cette pratique, nous sortirons du défaitisme pour participer matériellement aux victoires. Des victoires qui commencent à peser sur la virulence des interventions impérialistes comme celle obtenue au Sud Liban l'été passé et celle promise très bientôt au peuple irakien.</p> <p>A travers le monde, des milliers de combattants démontrent qu'on ne doit pas être démoralisés et terrorisés par un ennemi puissamment armé.</p> <p>L'oppression criminelle n'est pas invincible !</p> <p>Unité avec la résistance arabe en Palestine, au Liban et en Irak !</p> <p>Unité avec le mouvement sud-américain d'émancipation des griffes Yankees !</p> <p>Unité avec les prisonniers palestiniens et avec les révolutionnaires communistes et anarchistes emprisonnés en Europe...</p> <p>Où l'on travaille, où l'on vit, où l'on lutte ... Partout la résistance est à l'ordre du jour !</p> <p>Élargissons la mobilisation et faisons du mois de février un mois de résistance.</p> <p>SEGUIREMOS ADELANTE !</p> <p>Prisonniers de la guérilla ACTION DIRECTE</p> <p>Georges CIPRIANI</p> <p>Centrale d'Ensisheim</p> <p>Nathalie MÉNIGON</p> <p>Centre de détention de Bapaume</p> <p>J.Marc ROUILLAN</p> <p>Centrale de Lannemezan</p> <p>Décembre 2006.</p></div> Message de solidarité avec les résistants Libanais - prisonniers d'AD http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article149 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article149 2006-09-27T22:00:00Z text/html fr Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon Suivez le lien... Message de solidarité avec les résistants Libanais - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique36" rel="directory">93. NLPF-10 Sep 2006</a> <div class='rss_texte'><p>Suivez le lien...</p> <p><a href='http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article142' class='spip_in'>Message de solidarité avec les résistants Libanais</a></p></div> Message de Nathalie Ménigon (lu aux manifestants, à Paris, le 12 août) http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article151 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article151 2006-09-27T22:00:00Z text/html fr Nathalie Ménigon Suivez le lien... art - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique36" rel="directory">93. NLPF-10 Sep 2006</a> <div class='rss_texte'><p>Suivez le lien...</p> <p><a href='http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article150' class='spip_in'>art</a></p></div> Message de solidarité avec les résistants Libanais http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article142 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article142 2006-08-11T11:24:00Z text/html fr Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon Sous la pression américano-française, le conseil de sécurité de l'ONU a voté une nouvelle résolution incluant un cessez le feu garanti par le renforcement sur le sol libanais de la présence de troupes étrangères et en particulier des troupes françaises. Depuis plusieurs semaines, les bombes et les obus israéliens écrasent les villes et les villages libanais. Au mépris des conventions internationales, la volonté affichée de perpétrer des massacres et de réduire en cendre le pays a (...) - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique11" rel="directory">05. Militant-e-s d'AD</a> <div class='rss_texte'><p>Sous la pression américano-française, le conseil de sécurité de l'ONU a voté une nouvelle résolution incluant un cessez le feu garanti par le renforcement sur le sol libanais de la présence de troupes étrangères et en particulier des troupes françaises.</p> <p>Depuis plusieurs semaines, les bombes et les obus israéliens écrasent les villes et les villages libanais. Au mépris des conventions internationales, la volonté affichée de perpétrer des massacres et de réduire en cendre le pays a causé la mort de plus d'un millier de civils dont un tiers d'enfant et l'errance d'un million de réfugiées. Durant des semaines, les sionistes ont commis des crimes de guerre sans que les instances internationales ne lèvent le petit doigt pour s'y opposer.</p> <p>Malheureusement et depuis des décennies, nous sommes habitués à l'impunité israélienne. Les sionistes ne connaissent jamais la loi des ultimatums, des embargos et des frappes occidentales. Jusqu'ici seule la lutte armée des peuples les a contraints à reculer. Et aujourd'hui encore, malgré un cruel déséquilibre des forces, les combattants de la résistance libanaise font face avec un courage à toute épreuve.</p> <p>Dans ces heures d'une particulière gravité, nous, prisonniers communistes anti-impérialistes, tenons à saluer l'unité du peuple libanais face à l'agression impérialo-sioniste et la détermination inébranlable de la Résistance.</p> <p><strong>Nous tenons à dénoncer l'attitude du gouvernement français devenu le fer de lance de la politique impérialiste au Liban.</strong> L'agression sioniste est la partie la plus voyante et la plus sanglante d'un plan élaboré voici longtemps dans les cénacles néo conservateurs yankees. Au Liban, la résolution 1559 votée en septembre 2004 à l'initiative de Paris en constitua la première pierre. Sous le couvert de rétablir la souveraineté de l'État libanais, cette résolution préparait une nouvelle phase de violence. Son objectif principal est de placer le pays sous protectorat occidental et de le transformer ainsi en principale base d'attaque contre la Syrie et l'Iran. Parallèlement, les nouveaux maîtres dictent au gouvernement un traité séparé avec Israël afin d'isoler d'avantage les palestiniens et leurs alliés refusant la création d'un patchwork de bantoustans emprisonné de murs et de chars d'assaut.</p> <p>La politique française avance sans masque. Elle est aujourd'hui articulée au projet américain de Grand Moyen Orient. Le plan régional de Bush et des néoconservateurs américains est d'anéantir toute force populaire tentant de s'opposer à la main mise sur les richesses pétrolières de cette région et à son découpage en protectorats confessionnels. Comme l'a démontré avec clarté l'occupation de l'Irak, non lion d'écarter le violence, l'installation des troupes occidentales exacerbe immanquablement la confrontation avec les supplétifs collaborateurs et les forces populaires de la résistance. Il en sera de même si les forces armées françaises débarquent au Liban à la tête d'une armada impérialiste.</p> <p>Durant un mois de conflit, les observateurs sont arrivés aux mêmes conclusions. L'attaque israélienne était préparée depuis longtemps et les sionistes n'attendaient qu'un prétexte pour la déclencher. Dès les premiers bombardements, le gouvernement de Tel-Aviv a annoncé qu'il se rangeait sous la bannière de la guerre occidentale. Ainsi les gouvernants de Washington, Londres et Paris ne se placent pas derrière Israël, mais au contraire, l'État colon - allié aux principaux régimes arabes réactionnaires ‘l'Égypte, l'Arabie Saoudite et la Jordanie) - se fait l'arme de la stratégie impérialiste contre les peuples de la région.</p> <p>Dans cette guerre, les massacres de civils et les terribles ravages ne peuvent en aucun cas être présentés comme des dommages collatéraux ou des accidents de tir, ils concrétisent une volonté de répandre la terreur dans les populations et de las châtier suffisamment afin qu'ils admettent la supériorité des agresseurs et qu'ils acceptent leurs plan d'occupation.</p> <p>Ainsi la transformation du Liban en protectorat occidental avec la complicité du Conseil de Sécurité figure une nouvelle fois :<strong> la récompense pour les agresseurs et la punition pour les agressés. </strong></p> <p>Au Liban, comme en Irak et en Afghanistan se joue le redéploiement stratégique des forces agressives occidentales, l'accaparement des réserves énergétiques mondiales et leur marche en avant vers l'Est pour de nouvelles guerres. Toutes ces basses manœuvres sont présentées sous l'étendard frelaté de la démocratie et de la bienveillance humaniste. Et plus que jamais les masses des pays agressés ont besoin de notre refus et de notre solidarité conséquente. De notre implication et de nos liens avec leur résistance anti-impérialiste dépend l'équilibre des rapports de force.</p> <p>Face à l'entrée en scène directe des troupes françaises, nous avons ici plus qu'ailleurs le devoir de dénoncer cette sale guerre et son projet impérialiste. Avec le peuple libanais, le peuple palestinien et les masses arabes des différents pays de la région, nous devons trouver la force de nous organiser et de nous opposer au plan infernal de Grand Moyen Orient.</p> <p>Face aux enjeux de cette bataille décisive, nous devons créer une mobilisation consciente. C'est-à-dire capable de dénoncer tant les agissements de la diplomatie secrète cherchant à imposer un traité séparé entre l'État sioniste et le Liban, que les tentatives de briser l'unité du peuple libanais avec sa résistance armée.</p> <p>Dans ce conflit régional, un cessez le feu à tout prix n'est pas la solution, pas plus que ne l'est l'acceptation de vivre sous la botte de troupes occidentales. Bien au contraire !</p> <p>Quant à leur projet de désarmer les résistants libanais et palestiniens, loin d'empêcher les crimes impérialo-sionistes, il les facilitera. Souvenons-nous des massacres des camps de Sabra et Chatila survenus après le départ des forces armées palestiniennes ! <strong>Désarmer les combattants c'est trahir leur lutte et abandonner les objectifs de libération des peuples opprimés.</strong></p> <p>Seule la justice, c'est-à-dire concrètement le retrait de tous les territoires occupés par Israël, la libération des prisonniers palestiniens et libanais et le droit au retour des réfugiés, est le premier pas pour une vraie solution.</p> <p>Où que nous soyons et que nous luttons, que vive notre solidarité indéfectible avec la lutte héroïque des peuples palestiniens et libanais contre le sionisme !</p> <p>11.8.2006</p> <p>Les prisonniers politiques d'ACTION DIRECTE</p> <p>Nathalie MENIGON</p> <p>J.Marc ROUILLAN</p></div> Message aux manifestants à Paris le 12 août 2006 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article150 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article150 2006-07-31T22:00:00Z text/html fr Nathalie Ménigon Message de Nathalie Ménigon (lu aux manifestants, à Paris, le 12 août) AU XXIe siècle, les sionistes repartent en guerre contre le Liban et les Palestiniens. Un soldat, ça fait la guerre, donc rien de surprenant à ce qu'il soit fait prisonnier. La résistance du Hezbollah a bon dos. Il est clair que ce n'est là qu'un prétexte pour le gouvernement israélien de faire la guerre à ses voisins. Et cela dans l'unique but impérialiste d'étendre ses frontières, (...) - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique11" rel="directory">05. Militant-e-s d'AD</a> <div class='rss_texte'><p>Message de Nathalie Ménigon</p> <p>(lu aux manifestants, à Paris, le 12 août)</p> <p>AU XXIe siècle, les sionistes repartent en guerre contre le Liban et les Palestiniens.</p> <p>Un soldat, ça fait la guerre, donc rien de surprenant à ce qu'il soit fait prisonnier. La résistance du Hezbollah a bon dos.</p> <p>Il est clair que ce n'est là qu'un prétexte pour le gouvernement israélien de faire la guerre à ses voisins. Et cela dans l'unique but impérialiste d'étendre ses frontières, tout en exterminant le peuple palestinien et ceux qui leur offrent l'hospitalité.</p> <p>Ce gouvernement est un gouvernement terroriste qui, en refusant de cesser les bombardements sur les peuples libanais et palestinien, assassinant des familles entières, n'hésite pas à sacrifier ses filles et ses fils à son ambition.</p> <p>Que les sionistes cessent leurs guerres terroristes en faisant disparaître dans les brumes des temps anciens leur âme guerrière et impérialiste.</p> <p>Pensez-y, les sionistes sont les assassins du Proche-Orient.</p> <p>Il est plus que temps que leur impérialisme honteux disparaisse dans le plus profond puits du néant.</p> <p>Solidarité et sorellité-fraternité communiste avec les peuples libanais et palestinien.</p> <p>Paix et prospérité pour tous les résistants palestiniens et libanais.</p> <p>Salut et honneur aux résistants palestiniens et libanais !</p> <p>Nathalie Ménigon</p> <p>militante communiste d'Action Directe</p> <p>Bapaume, août 2006.</p></div> Message de nathalie Ménigon http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article138 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article138 2006-07-02T16:59:00Z text/html fr Nathalie Ménigon Message pour le 24 juin 2006 - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique33" rel="directory">992. 24 juin 2006 Rassemblement CD Bapaume</a> <div class='rss_texte'><p><a href='http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article137' class='spip_in'>Message pour le 24 juin 2006</a></p></div> Message pour le 24 juin 2006 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article137 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article137 2006-06-24T16:51:00Z text/html fr Nathalie Ménigon « A toutes celles et tous ceux qui ont manifesté devant le CD de Bapaume le 24 juin et à celles et ceux qui veulent renforcer la mobilisation dans le Nord : Merci à toutes et tous d'être venu(e)s. Recevez mon salut révolutionnaire. Salut et honneur à Joëlle Aubron ! Un nouveau directeur, ici, XX plus répressif que le précédent, YY. Toutes les revues et tous les journaux, tracts, etc. sont censurés. C'est intolérable. La libre opinion s'entasse dans les vestiaires de la (...) - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique11" rel="directory">05. Militant-e-s d'AD</a> <div class='rss_texte'><p>« A toutes celles et tous ceux qui ont manifesté devant le CD de Bapaume le 24 juin et à celles et ceux qui veulent renforcer la mobilisation dans le Nord :</p> <p>Merci à toutes et tous d'être venu(e)s. Recevez mon salut révolutionnaire. Salut et honneur à Joëlle Aubron !</p> <p>Un nouveau directeur, ici, XX plus répressif que le précédent, YY. Toutes les revues et tous les journaux, tracts, etc. sont censurés. C'est intolérable. La libre opinion s'entasse dans les vestiaires de la fouille, pour moi, mais aussi pour les camarades basques et catalane. D'ailleurs Agurtzane, Juli et Isabelle vous saluent chaleureusement.</p> <p>Non à la censure politique ! Libérons les opinions révolutionnaires !</p> <p>Avançons ensemble ! Liberté et unité ! Nous avons à faire la Révolution tous ensemble car nous sommes uni(e)s par la même volonté de détruire le capitalisme.</p> <p>Salut rouge et noir. Soyons verts* aussi pour sauver la planète.</p> <p>Sœurs et Frères révolutionnaires, marchons ensemble pour la liberté et l'émancipation concrète du Prolétariat dont la conscience se réveillera lorsqu'ouvrier(e)s et employé(e)s se reconnaîtront dans cette classe tant exploitée !</p> <p>Union = Batasuna, Amour et Force</p> <p>Nathalie Ménigon</p> <p>militante d'Action Directe</p> <p>Bapaume, le 24.06.06 »</p> <p>* Nathalie précise qu'« il ne s'agit pas du parti "les Verts" mais de la préoccupation politique écologique ».</p></div> Ce qu'il faut retenir de ma camarade Joëlle Aubron - N. Ménigon http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article112 http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article112 2006-03-17T20:42:49Z text/html fr Nathalie Ménigon Suivez le lien Ce qu'il faut retenir de ma camarade Joëlle Aubron - <a href="http://nlpf.samizdat.net/spip.php?rubrique30" rel="directory">94. NLPF-9 mars 2006</a> <div class='rss_texte'><p><i>Suivez le lien</i></p> <p><a href='http://nlpf.samizdat.net/spip.php?article110' class='spip_in'>Ce qu'il faut retenir de ma camarade Joëlle Aubron</a></p></div>