Le Collectif « Ne laissons pas faire ! » prend acte de la décision de la cour
spéciale d’accorder à Jean-Marc Rouillan, mili-tant d’Action Directe en prison
depuis plus de vingt ans, un régime de semi-liberté. C’est une première étape
imposée par les lois « antiterroristes » avant d’accéder à une liberté
conditionnelle.
Comme pour Nathalie Ménigon, cette semi-liberté qui reste une semi-détention est
assortie de contraintes exceptionnelles.
Il serait incompréhensible que Georges Cipriani n’obtienne pas lui aussi un
aménagement de peine.
Parmi tous les prisonniers relevant de cette juridiction, Georges Ibrahim
Abdallah, militant communiste arabe emprisonné depuis 1984 et libérable depuis
1999, attend le 10 octobre une réponse à sa septième demande de libération
conditionnelle.
Pour la libération de tous nos camarades, le combat continue !
Collectif « Ne laissons pas faire ! »
26 septembre 2007
Dernière minute, le parquet vient de faire appel