Déjà 23 ans de prison pour Jean-Marc Rouillan, dont 25 mois accomplis après la révocation en octobre 2008 de sa semi-liberté.
Deux années supplémentaires d’emprisonnement pour des mots que la Justice a qualifiés d’« ambigus ».
Georges Cipriani et Nathalie Ménigon sont aujourd’hui en semi-liberté ou en liberté conditionnelle.
Dans la prison de Muret, Jean-Marc Rouillan n’a toujours pas reçu, lui, l’avis des « experts » de la commission pluridisciplinaire, suite à son passage en février dernier au Centre national d’observation de Fresnes.
Combien de mois encore à attendre une audience pour sa demande de libération, mois qui s’ajoutent aux années et aux années de résistance à l’enfermement ?
Jean-Marc Rouillan doit sortir enfin de prison : comme chaque mois, nous viendrons le dire à l’occasion du
RASSEMBLEMENT
jeudi 4 novembre, de 18 h à 19 h
en face de la direction de l’Administration pénitentiaire
carrefour rue de la Verrerie - rue du Renard
(Paris 4e - Métro L1/L11 : Hôtel-de-Ville)
Le Collectif « Ne laissons pas faire ! »
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