logo nlpf
Mobilisations Communiqués Matériel et Propagande Militant-e-s d'AD Bulletins Liens Lettre d'inf@

Nlpf!

Collectif pour la libération des militant-e-s d'Action directe

Abonnez-vous à notre lettre d'info

Nous contacter

Collectif Nlpf! c/o LPJ
58, rue Gay-Lussac
75005 Paris

nlpf (a) samizdat.net

Rechercher sur le site



Mobilisations

Bulletins

Matériel et propagande


Rassemblement 5 octobre 2006

lundi 2 octobre 2006, par NLPF


Rassemblement de protestation et de solidarité :

jeudi 5 octobre 2006

de 18h à 19h

devant la direction de l’Administration pénitentiaire (carrefour rue de la Verrerie - rue du Renard, métro Hôtel-de-Ville, Paris)


Lundi 9 octobre, audience virtuelle pour Nathalie Ménigon.

Ce jour-là à 15h30, la demande de suspension de peine pour raison médicale déposée par Nathalie Ménigon, militante d’Action Directe détenue depuis près de 20 ans, sera examinée par la juridiction parisienne d’application des peines « antiterroriste ». L’avocat de Nathalie sera présent face au juge Bernard Lugan, mais pas notre camarade, puisqu’une nouvelle législation d’exception, datant du 23 janvier 2006, a décidé qu’elle ne serait pas extraite de la prison de Bapaume mais seulement entendue par vidéo-conférence.

Après le militant basque Filipe Bidart qui comparaît le 2 octobre, Nathalie va donc inaugurer ce nouveau dispositif exceptionnel et politique, qui centralise à Paris les décisions concernant les peines des prisonniers révolutionnaires. Avec les juridictions locales, obtenir une libération était déjà pratiquement impossible pour les militantEs d’Action Directe, même si les conditions étaient remplies. Aujourd’hui c’est clairement l’État qui rendra les décisions, l’État qui exige des militantEs emprisonnéEs qu’ils/elles renient leurs convictions révolutionnaires.

Pendant ce temps, au CD de Bapaume, les prisonnières politiques continuent à subir des brimades : des périodiques restent arbitrairement bloqués par l’administration de la prison, des courriers censurés ne leur sont même pas notifiés (en violation du règlement), des demandes de parloir sont « perdues ». Et comme pour les autres détenues, les temps de visite sont parfois réduits de 2 heures à 1 heure 30, par suite de l’incurie de la direction.

Leur peine de sûreté est accomplie, liberté pour les militantEs d’Action Directe  !

Toutes et tous au rassemblement de protestation et de solidarité : jeudi 5 octobre 2006 de 18h à 19h devant la direction de l’Administration pénitentiaire (carrefour rue de la Verrerie-rue du Renard, métro Hôtel-de-Ville)

Le Collectif Nlpf !

Paris, le 1er octobre 2006





Ecrire aux militants d’Action directe incarcérés !
 
Georges Cipriani
n°écrou 5250/2108
M.C. Ensisheim
40, rue de la 1re Armée
68190 Ensisheim 


Jean-Marc Rouillan
n° écrou 9590B130
Centre de détention de Muret
route de Seysses
31600 Muret



Communiqués

Militant-e-s d'AD

Infos diverses