Devant l’administration pénitentiaire
à l’angle de la rue du Renard et de la rue de la Verrerie
à 18 h (Métro Hôtel de Ville)
Nathalie Ménigon est en liberté conditionnelle depuis hier. Pendant les 5 prochaines années, elle devra satisfaire aux exigences de contrôle qu’impose la conditionnelle.
Georges Cipriani se trouve toujours au Centre national d’observation (CNO) où il est arrivé le 20 juin dernier ; depuis plus d’un mois et demi donc il est soumis à l’examen récurrent d’« experts » devant juger de sa « dangerosité ».
Si danger il y a, il ne peut venir que des nouvelles lois adoptées par le gouvernement, à commencer par la loi de rétention de sûreté, et des fichiers en tout genre instaurés pour observer, cataloguer, traquer ceux qui voudraient encore jouir de leur liberté de pensée et d’action !
Rassemblons-nous ce jeudi, 7 août, pour exiger la libération de tous les prisonniers révolutionnaires que L’État garde derrière les barreaux : Georges Cipriani, Régis Schleicher et aussi Georges Ibrahim Abdallah qui doit être incessamment transféré au CNO à Fresnes.
Liberté pour tous : Nathalie Ménigon, Jean-Marc Rouillan, Georges Cipriani, et aussi Régis Schleicher et Georges Ibrahim Abdallah !
Non à la rétention de sûreté !
Non à la prison infinie !
Ne Laissons Pas Faire !
Paris le 4 août 2008
