Georges Cipriani a déposé en novembre 2007 une demande de libération conditionnelle. Son dossier répond à toutes les exigences d’une telle décision et devrait logiquement dans quelques mois lui permettre de gagner un statut de semi-liberté que ses camarades Nathalie Ménigon et Jean-Marc Rouillan ont déjà arraché à la justice.
Plus que jamais, il nous faut donc maintenir la pression : la mobilisation de chacun doit se poursuivre afin d’exiger la liberté pour Georges Cipriani et aussi pour Régis Schleicher ; pour exprimer notre soutien à Nathalie Ménigon et à Jean-Marc Rouillan jusqu’à leur libération complète.
Rendez-vous jeudi 3 avril à 18h
devant l’administration pénitentiaire :
à l’angle de la rue de la Verrerie et de la rue du Renard
Métro Hôtel de Ville
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